5 films « feel good », pour se faire du bien au moral.

Nous voilà en plein milieu d’un troisième confinement. Et c’est ok d’avoir des baisses de moral. Moi, ça m’arrive régulièrement. Et pour y faire face, je ne lésine pas sur les objets culturels « doudous ». Aujourd’hui, je te propose cinq films que j’adore regarder de temps en temps, quand je suis un peu triste ou juste pour me faire du bien. Allez, c’est parti pour mes 5 films « feel good ».

 

La bonne épouse, de Martin Provost.

Le pitch :

1967. Paulette Van Der Beck dirige avec ardeur son école ménagère. Elle est secondée par Marie-Thérèse, religieuse, ancienne résistante et adoratrice du général de Gaulle, et par Gilberte, sa belle-sœur, professeur de cuisine et fan d’Adamo. Les trois femmes vont être confrontées à la vague révolutionnaire de mai 1968, qui va bouleverser leurs certitudes.

Pourquoi c’est un film « feel good » ?

Qu’il est rare que je trouve une comédie française qui vaille la peine d’être vue en entier et sans râler toutes les trois minutes… Depuis une horrible séance de cinéma devant « Le Grand Partage », j’avoue que je suis réticente à payer pour aller voir ce genre de film. Mais je ne regrette pas d’avoir été au cinéma entre deux confinements pour voir celui-là. Déjà, le casting correspond 100% à ce que j’aime : Juliette Binoche (la raison me semble évidente), Yolande Moreau (toujours excellente dans le drame comme dans la comédie), Noémie Lvovsky (qu’on ne voit pas assez) et Édouard Baer (que j’adore). L’histoire est assez légère sans être écrite avec les pieds. Et j’aime par-dessus tout voir Yolande Moreau dansait sur du Adamo.

 

Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, d’Alain Chabat.

Le pitch (est-ce vraiment nécessaire ?) :

Cléopâtre, reine d’Égypte, décide de prouver à Jules César la grandeur de la civilisation égyptienne. Pour ça, elle décide de lui faire construire un palais en plein désert en l’espace de trois mois. Elle fait donc appel à l’architecte Numérobis. Ce dernier, inquiet du délai extrêmement court dont il dispose, décide de se rendre en Gaule pour demander de l’aide à un vieil ami, le druide gaulois Panoramix ainsi qu’à ses amis, Astérix et Obélix. Les trois Gaulois accompagnent Numérobis à Alexandrie où ils devront déjouer les manigances d’Amonbofis, l’architecte jaloux, et des Romains, car si Numérobis ne termine pas à temps, il sera jeté aux crocodiles sacrés.

Pourquoi c’est un film « feel good » ?

Déjà, parce que c’est un de mes premiers souvenirs de cinéma. Je me rappelle être allée le voir, dès sa sortie, avec mon père. Et je me souviens aussi que le coffret collector est soigneusement rangé dans un de mes cartons (en attendant de trôner dans mon futur bureau). C’est une fucking référence, tout comme « La cité de la peur » est une référence pour les enfants des années 80 (big up à ma belle-soeur Mamath !). La plupart des répliques sont devenues cultes et le talent de Chabat n’y est pas pour rien. Et puis, pour finir, comme souvent : le casting est impeccable. Je suis toujours heureuse de retrouver le grand Baer, le duo Clavier/Depardieu (avant que les deux ne tournent mal). Mais aussiIsabelle Nanty, Marina Foïs, Gérard Darmon, Chantal Lauby, Monica Belucci et évidemment l’inimitable Chabat.

 

Nos jours heureux, d’Olivier Nakache et Éric Toledano.

Le pitch :

À l’été 1992, Vincent Rousseau dirige pour la première fois une colonie de vacances et se retrouve vite confronté aux difficultés que soulève son poste. Il doit gérer des enfants indisciplinés, des animateurs pas toujours très professionnels, les activités à organiser, la gestion des menus et bien d’autres problèmes. La colonie ne va pas se dérouler comme prévu.

Pourquoi c’est un film « feel good » ?

Comme « Astérix et Obélix (…) », je me souviens l’avoir vu au cinéma (avec ma mère cette fois). Et étant devenue animatrice par la suite, comment vous dire que je me suis reconnue dans quasiment chacune des scènes. Je ne sais pas si le duo de réals a son BAFA, mais c’est souvent très proche de la réalité du terrain. C’est drôle et tendre, bien joué, comme tous les films de Toledano et Nakache. Y a pas à dire, ils excellent dans l’art de la comédie (et dans le drame aussi, d’ailleurs) et ça fait du bien.

 

Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, d’Alfonso Cuaron.

Le pitch :

Troisième opus de la saga culte. On y retrouve Harry et on le suit dans cet épisode qui marque la rupture avec l’univers enfantin. On rentre dans le côté sombre de ce qu’a écrit J.K. Rowling. Pour résumer grossièrement : Harry va vivre mille trucs, en s’en sortir miraculeusement grâce à Ron et Hermione (et aussi grâce à Remus et Sirius : mes deux personnages préférés). Si vous voulez en savoir plus, allez sur Wikipédia ou appelez ma nièce Yaël !

Pourquoi c’est un film « feel good » ?

Je suis en grande grande fan d’Harry Potter et surtout de cet épisode là. Parce que comme je l’ai dit plus haut, c’est là que ça commence à devenir sombre. Et puis, c’est aussi dans ce film qu’on fait la rencontre de Sirius, le parrain d’Harry, et de Remus Lupin, professeur de défenses contre les forces du mal au lourd secret. Je peux sans problème le regarder plusieurs fois par an sans m’en lasser. Et je suis ravie de pouvoir partager cette passion (qui frise l’obsession si j’y plonge un peu) avec ma nièce (qui fête ses 14 ans aujourd’hui : happy birthday my fave little wizard).

 

Les noces funèbres, de Tim Burton.

Le pitch :

Au xixe siècle, dans un petit village, Victor Van Dort, fils de nouveaux riches, et Victoria Everglot, fille de petite noblesse dont les parents sont ruinés, sont promis l’un à l’autre. Le coup de foudre est immédiat entre ces deux personnages touchants de gaucherie pour lui et de douceur pour elle. Par mégarde et dans des conditions fantasmagoriques, Victor se retrouve marié au cadavre d’Emily, une mystérieuse mariée morte, qui l’entraîne de force dans le monde des morts. Même si la « vie » dans ce monde paraît bien plus joyeuse que dans celui des vivants, Victor ne peut oublier Victoria.

Pourquoi c’est un film « feel good » ?

Il y a dans ce Tim Burton, tout ce que j’aime dans son univers. Sombre, mélancolique, fantasmagorique et drôle. L’histoire de Victor et Victoria est une dentelle de poésie et d’inventivité. Rien n’est laissé au hasard, tant dans les références que dans la réalisation. Bref… J’adore ce film. Et souvent, je mets sa BO en fond sonore quand je travaille. Parce qu’on va pas se mentir, Dany Elfman, c’est la beauté. Surtout ce morceau là : The Piano Duet.

 

Et toi, c’est quoi tes films « feel good » ?

 

Toutes nos recommandations « ciné / série » sont à retrouver ici !

 

Vous pourriez aussi aimer...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *